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  • : CGT Saint-Vincent-de-Paul Service Public - Le blog citoyen de l'hôpital
  • : Soutien à la lutte du personnel de l'hôpital pour sauvegarder cet établissement public sacrifié aux intérêts privés. Défense des services publics et des valeurs fondamentales de la République et de l'humanisme.
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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 22:43

 

  • Des effectifs notoirement insuffisants !
  • Le nombre minimum légal de personnels paramédicaux non respecté !
  • L’impossibilité de prendre des repos ou des CA !
  • Des contraintes rendant la vie de famille difficile !
  • Le non respect de la durée maximum hebdomadaire travaillée (48h00) !
  • Le non respect de la durée minimale de repos entre 2 temps travaillés (12h00) !
  • Le manque de formations pour certaines activités spécifiques de cardio !

Les collègues de cardio ont dit : STOP !

 

Hier 15 mars 2011, le personnel de la Cardio avec de nombreux collègues des différents services de l’hopital accompagnés par la CGT de COCHIN et Saint Vincent de Paul ont déposé un préavis de grève.

Le directeur de l’hopital Cochin n’a pas apprécié l’invasion de son bureau par le personnel en colère !

Pourtant, les revendications légitimes du personnel doivent être entendues !

 

Le personnel se retrouve stressé, épuisé et ainsi poussé à la faute professionnelle à cause de la pénurie d’effectifs !

Après dépôt d’un avis de « danger grave et imminent » par les membres CGT du CHSCT (procédure prévue par le code du travail), un CHSCT Extraordinaire a eu lieu le matin du 16 mars. La Direction n’a rien proposé, en prétextant le « manque de moyens ».

Cette situation qui met en danger le personnel et les patients va être portée à la connaissance de l’Inspection du Travail.

 

Pour la CGT, l’AP-HP  (COCHIN) doit recruter des agents !

 

Le préavis de grève n’est pas levé, la CGT ira jusqu’au bout !

 

La CGT COCHIN soutient tous les collègues qui contribuent à mettre la direction devant ses responsabilités !

 

CGT COCHIN / www.cgtcochin.fr / 01 58 41 11 67

 

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 09:50

La médecine du travail sacrifiée sur l’autel du « dialogue social » ? Etonnante abstention des sénateurs de gauche sur la proposition de loi NC-UMP.

 

Medef et gouvernement reviennent inlassablement à la charge contre la médecine du travail.

En 2009 et 2010, ils ont tenté de négocier un accord avec les organisations syndicales. L’action des collectifs de défense de la médecine du travail a été décisive pour qu’aucun syndicat n’accepte de cautionner leur projet de démolition.

A l’automne 2010, le gouvernement a tenté de faire passer de force son projet dans le cadre de la loi Woerth contre les retraites. Le Conseil constitutionnel a dû invalider ce « cavalier législatif » (sans rapport avec l’objet du projet de loi).

Qu’à cela ne tienne, les sénateurs « centristes » ont pris le relais en reprenant mot à mot le texte dans une proposition de loi qui a été examinée et votée en première lecture au Sénat le 27 janvier 2011.

 

La mobilisation pour défendre la médecine s’étend. Des meetings ont été organisés. Des articles, enfin un peu plus nombreux, ont pu être publiés dans la presse. Nous faisons partie de ceux qui ont relayé dans les entreprises les analyses des collectifs de médecin du travail (voir le dossier sur ce site).

La survie même de leur discipline est menacée. On veut éloigner de l’entreprise les médecins du travail, salariés qualifiés et protégés par leur statut, placer leur mission sous le contrôle des employeurs, diluer leurs prérogatives. Les examens médicaux systématiques des salariés sont remis en cause. Aucune mesure n’est prise pour arrêter l’extinction programmée de ses spécialistes et relancer les formations. Etc.

 

La proposition de loi doit passer à l’Assemblée nationale dans les prochaines semaines. C’est l’occasion d’intensifier et d’élargir bien davantage encore la lutte pour la défense de la médecine du travail.

 

Cela ne pourra se faire que dans la clarté et en allant au fond des choses.

Les sénateurs de gauche, socialistes, écologistes, même ceux de notre parti, le PCF, qui ont été pourtant en pointe dans la dénonciation du projet patronal dans la discussion de la loi Woerth, n’ont pas voté contre la proposition de loi de la droite sénatoriale. Ils se sont simplement abstenus.

Ce recul rentre dans une surprenante logique de résignation qui contraste avec la fermeté entendue dans les réunions publiques, même postérieures au vote.

 

Peu avant, les confédérations CGT et CFDT ont adressé une lettre aux députés insistant sur un point : la « gouvernance des services de santé au travail ». Ces organisations syndicales s’inscrivent dans la promotion « d’un dialogue social équilibré entre organisations patronales et syndicales représentatives ».  La droite a saisi la balle au bond et accepté d’établir une « présidence alternée » des services de santé au travail entre représentants issus du patronat et représentants du syndicat. C’est suivant l’esprit de la lettre de la CGT et de la CFDT que les groupes de gauche se sont finalement abstenus.

 

Le groupement « Sauvons la médecine du travail » (SMT) montre combien cet aménagement ne change absolument rien au caractère destructeur de l’ensemble de la proposition de loi. Par ailleurs, la « présidence alternée » ne change rien au renforcement de la mainmise des employeurs sur les services.

Il serait aberrant et suicidaire de laisser détruire la médecine du travail, « seule spécialité médicale dont l’unique objet est la prévention des pathologies liées aux conditions de travail », conquête de la Libération, au nom du développement d’une logique de cogestion dans l’entreprise de la gestion des personnels et de leur santé.

 

Nous renvoyons en lien vers le dernier communiqué de SMT (http://www.slmt.fr/SLMT/CdP_17.html ) et ne doutons pas que leurs analyses et actions contribueront à lever les ambiguïtés, les hésitations, les tentations de repli réformistes.

Par PCF - Section Paris 15ème

http://pcf-paris15.over-blog.com/article-la-medecine-du-travail-sacrifiee-sur-l-autel-du-dialogue-social-etonnante-abstention-des-senateurs-de-gauche-sur-la-proposition-de-loi-nc-ump-68789430.html

 

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 09:48

Le 19 mars de nombreuses organisations syndicales et associations ainsi que la FCPE appellent à une action prévoyant des manifestations et des rassemblements contre les suppressions d’emploi dans l’Education Nationale.


Au-delà même des suppressions de postes, nous subissons des réformes inacceptables souvent exclusivement tournées contre le second degré et ses personnels : réforme du lycée en 1ère, réforme de la voie technologique en particulier la STI, abandon de l’éducation prioritaire, multiplication des établissements CLAIR devenus ECLAIR laboratoires de toutes les déréglementations, livret de compétence en collège, , réforme de l’orientation scolaire, formation des enseignants avec les conditions épouvantables faites aux nouveaux collègues stagiaires,, vie scolaire affaiblie…


A cela s’ajoute le projet de réforme de l’évaluation des enseignants qui vise à renforcer le rôle des chefs d’établissement dans l’évaluation pédagogique des enseignants, et la proposition de Loi sur l’école du socle qui vise à permettre la fusion des collèges avec les établissements du premier degré et à introduire la bivalence en collège, consacrant de surcroît le collège comme la fin de la scolarité pour une part importante des élèves.


Ces agressions contre le second degré et ses personnels ont donc conduit le SNES, dans le cadre de l’action du 19 mars, à appeler les personnels d’enseignement, d’éducation et d’orientation du second degré à tous participer massivement à la manifestation à Paris, afin de donner une meilleure lisibilité aux problèmes particuliers rencontrés dans notre secteur


Des moyens de déplacement seront partout mis en place pour vous permettre venir participer à la manifestation à Paris le 19 mars


Les enjeux de cette manifestation sont importants pour le second degré pour bien montrer à notre ministre que nos professions ne peuvent accepter un tel traitement. que tous les élèves ont droit à l'ambition éducative.

La responsabilité de chacun d’entre nous est de mobiliser le maximum de collègues pour faire que cette journée de manifestation apparaisse comme une mobilisation de l’ensemble de nos professions.


Frédérique Rolet, Roland Hubert, Daniel Robin

Secrétaires généraux

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 15:08

Les directions des fédérations syndicales de fonctionnaires sont invitées par le gouvernement à signer avant le 31 mars un protocole d’accord visant officiellement à résorber la précarité dans la Fonction Publique.
Or le contenu de ce protocole apparaît comme un miroir aux alouettes : sous couvert d’ « avancées » bien squelettiques (le "dispositif de titularisation" concernera d’après le ministre lui-même "entre 40 000 et 50 000 contractuels" sur 4 ans ; ce qui concerne donc 1, 14 % de ces agents par an, sur une période limitée à 4 ans...), son axe stratégique est de fragiliser les statuts et de faire la part belle au CDI, non seulement en l'instituant comme débouché prioritaire des CDD, mais surtout en inscrivant désormais dans la loi le recrutement direct en CDI.
 
Pour les syndicalistes de la Fonction Publique qui luttent pied à pied contre les privatisations, la RGPP ou la LOLF, les délégations de service public et autres partenariats public-privé, les suppressions de postes par centaines de milliers  (200 000 entre 2007 et 2013), le gel des salaires ou encore le détricotage continu des statuts, il n’y a aucune surprise.
 
Aucune surprise non plus si l’on reprend les déclarations de Nicolas Sarkozy en septembre 2007 devant les élèves de l’IRA (Institut régional de l’administration) : « Je souhaite une Fonction publique moins nombreuse (…) Il serait souhaitable qu’on laisse le choix aux nouveaux entrants entre le statut de fonctionnaire ou un contrat de droit privé négocié de gré à gré. » 
Aucune surprise enfin de la part d’un gouvernement qui, comme ses prédécesseurs, applique à la lettre les injonctions européennes de casse des services publics.
 
Au final, l’enjeu pour le gouvernement est bien de généraliser les emplois de CDI et de contrats privés, de mettre en concurrence les statuts de fonctionnaires et le CDI, ce qui dans le cadre de la Fonction Publique constitue bien un accroissement de la précarité avec la disparition de la notion d’emploi garanti statutairement. 
Il serait dès lors incompréhensible que les organisations syndicales, et en particulier la FSU et la CGT, entrent dans le piège des avancées minimales pour signer un texte catastrophique pour l’avenir du statut de fonctionnaire et des garanties qui lui sont liées, non seulement pour les salariés mais aussi pour la qualité du service public due à la population.
 
Le protocole gouvernemental est dangereux et inacceptable. En le signant, les organisations signataires porteraient une lourde responsabilité, celle d’accompagner la dislocation de la Fonction Publique.

http://union-activistes.over-blog.com/article-declaration-du-front-syndical-de-classe-70271021.html

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 22:36

Intervention de l’USTM Flandres/Douaisis/Dunkerque lors de la rencontre du 16/02/11 avec l’UD Nord sur les règles de vie de la CGT

 

Comme chacun d’entre vous, nous avons pris connaissance du dernier rapport de Philippe LATTEAUD lors du dernier CCN des 03 et 04 février 2011, et de la volonté d’accélérer la mise en œuvre des résolutions adoptées au 49 e congrès de la CGT, sur l’organisation, le fonctionnement et les règles de vie de la CGT.

Laisser croire que l’efficacité du syndicalisme et sa crédibilité seraient liées à un problème de fonctionnement  et/ou d’une structuration de la CGT qui ne serait plus adaptée à la situation du salarié et de l’évolution du salariat, ce n'est non seulement pas acceptable mais en grande partie faux, pire entretenir l’idée que l’échec du conflit sur les retraites en 2010 serait dû à tout cela, ce serait vraiment tromper le Corps  Militant, ou s’interroger sur la capacité de nos dirigeants à bien mesurer les enjeux, ce qui serait très  inquiétant pour l’avenir de notre organisation.

La région métallurgie au cours du congrès confédéral s’est largement exprimée en opposition complète sur les orientations confédérales ;

                En clair ;

-          c’est la remise en cause des syndicats professionnels

-          remise en cause du fédéralisme

-          la mise en place de syndicats interprofessionnels  s’inscrit  dans la dissolution de nos unions locales

Cette orientation se fond dans le cadre de la  régionalisation voulue par le gouvernement et l’Europe via la CES, tout serait concentré sur une région interprofessionnelle avec un pouvoir de décision et contraire aux règles de la démocratie.

Une nouvelle fois nous sommes repartis sur des nouvelles journées d’actions sans lendemain et sous l’égide  de la Confédération européenne syndicale qui épouse les réformes imposées par le grand capital.

Notre adhésion avait pour but de gagner la CES, aux  valeurs de classe de la CGT, aujourd’hui nous dressons malheureusement le bilan inverse, d’une CGT dans son mode d’organisation et de ses orientations réformistes qui se fond dans le syndicalisme et modèle européen.

La stratégie de lutte sur les retraites en est un exemple ! Comment en ayant des mobilisations plus importantes qu’en 1968 nous ayons  accusé un recul historique par la remise en cause de la retraite à 60 ans !

L’unité du syndicalisme rassemblé de sommet nous a cantonnés sur des journées d’actions sans lendemain avec comme exigence l’ouverture de négociation mais sans blocage du pays, déphasé des revendications et l’expression de masse du monde du travail.

Dans les manifestations les slogans ;

-          c’est le retrait de la réforme du gouvernement Sarkozy

-          grève reconductible avec blocage de l’économie

avec sur fond de toile le mal être, causé par des licenciements massifs, la baisse du pouvoir d’achat, l’augmentation du chômage etc..

La syndicalisation est directement liée à la réponse aux besoins, et à la satisfaction des revendications, encore faut il être porteur des revendications claires, là également et au nom du syndicalisme rassemblé rien n’est mis en évidence avec des repères clairement établis.  

La question de l’avenir de nos industries pose la question des convergences intérêts entre les professions, métallurgie, chimie, transport, cela ne doit pas se traduire par la remise en cause de l identité professionnelle, mais par les actes de direction syndicale, proposition de luttes à partir des revendications des travailleurs, qui de part la nouvelle démarche syndicale sont renvoyés dos à dos.

Aujourd’hui encore il faut attendre la 5  réunion de discussion avec le patronat sur les retraites complémentaires, pour que les directions syndicales confédérales se posent la question d’une nouvelle journée d’action, de même la lutte des ports et docks   sur la pénibilité, croyez vous qu’ils soient les seuls à qui le problème est posé ? Quelle proposition d’action ?    

    La question du renforcement des structures de proximité est posée plus que jamais,  lors de notre assemblée de rentrée, avec la présence de 400 militants de la métallurgie, toujours mobilisés plus que jamais non pas et seulement contre les coups portés contre le monde du travail notamment par le démantèlement de nos industries, mais surtout et dans le cadre de notre congrès fédéral, réaffirmer notre volonté de militer pour un syndicalisme de classe, avec comme point d’appui des avancées sociales comme l’augmentation du pouvoir d’achat de 300€ net la retraite à 55 ans de ne rien relâcher à notre démarche revendicative, et l’élévation des luttes, véritable baromètre pour enregistrer de nouvelles adhésions.

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 22:34

samedi 5 mars 2011 par François Sénac IDE

La directrice générale de l’APHP, Mireille FAUGERE, vient d’annoncer la fermeture imminente de la plupart des services d’hospitalisation de l’hôpital HOTEL-DIEU, avec quelques transferts sur Cochin

Elle transforme l’Hôtel-Dieu en bureaux du siège de l’APHP, et en centre de recherche en santé publique, plus ou moins privé.

Seuls restent les urgences pour le moment.

L’effet le plus notable de cette pagaille programmée est une réduction de l’offre de soin dans l’hôpital public !

C’est scandaleux quand on pense aux difficultés qu’éprouvent certains patients des urgences à trouver un lieu d’hospitalisation !

La destruction de l’hôpital public est en cours !

Pour les hôpitaux COCHIN, SAINT-VINCENT DE PAUL et HOTEL-DIEU, privés de possibilité de recrutement de personnel supplémentaire pour cause d’économie, ce remue-ménage va encore entraîner des dépenses énormes, qui vont justifier un plan d’économie qui se fera au dépend du personnel et de l’accueil des patients !

Le président de la CCM de l’APHP avait annoncé cette transformation il y a plusieurs mois.

Les syndicats CGT des hôpitaux de COCHIN, SAINT-VINCENT DE PAUL et HOTEL-DIEU combattent la disparition des hôpitaux publics dans PARIS

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 22:31

NEGOCIATIONS POUR LE S.A.U ET LA CHIR

jeudi 3 mars 2011 par Marise Dantin Secrétaire Générale

Le 2 Mars à 9 heures, la Direction de l’hôpital, le personnel de la chirurgie, l’encadrement et la CGT Cochin se sont réunis afin de trouver une solution au manque d’effectifs dans le service Pasteur, suite au préavis de grève déposé la veille par la CGT. Le personnel a réaffirmé sa détermination.

Après 1 heure 30 de discussion, la Direction propose que pour l’instant aucun changement d’organisation ne se fasse et que des réunions de service se mettent en place.

A 17 heures 30nous nous sommes à nouveau rencontrés pour des négociations aux urgences suite au préavis de grève déposé la veille par la CGT. La Direction, l’encadrement, le personnel du service et la CGT Cochin ont longuement expliqué les difficultés du service. A nouveau le personnel soutenu par toute l’équipe a réaffirmé son point de vue. Lorsque le personnel est recruté de nuit, le changement d’équipe ne se fait que sur le volontariat.

Les Aides Soignant de nuit ne passeront pas de jour même un mois par an. Des IDE vont être recrutées afin de combler les postes.

LA CGT COCHIN SOUTIENDRA TOUJOURS LE PERSONNEL

L’ UNION FAIT LA FORCE

http://www.cgtcochin.fr/NEGOCIATIONS-POUR-LE-S-A-U-ET-LA.html

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 22:29

Samedi 26 mars 2011 à 18h00

Soirée exceptionnelle au Musée Fabre de Montpellier

 (13 rue Montpellieret - 34000 Montpellier)

 

Au profit de l'Unité de Recherche sur les Mouvements Anormaux

 

(Pr. Ph. Coubes - URMA - CHU Montpellier)

site : art-espoir.org, site à consulter pour tout complement d'information.

 

Art Espoir Remercie :

 

Editions PRISMA

GENERALI solutions d'assurances - Génération responsable

ARCURIAL Briest - Poulain - F. Tajan

Didier Nick

CRAYON & CIE

VUDEN FACE

L'agglomération de Montpellier a généreusement mis à disposition le Musée Fabre

 

Comme d'habitude, la Recherche en France doit faire la manche faute de crédits et d'aides des pouvoirs publics, inexistats ou insuffisants... Et pendant ce temps-là, des milliards d'euros disparaissent dans les poches de certains...

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 22:25

aaa-Vendemiaire-drapeau-WEBFace à une nouvelle entreprise négationniste de réhabilitation de Louis Renault

CONFERENCE DE PRESSE avec :

Michel Certano, Aimé Halbeher et Roger Sylvain

et la participation d’Annie Lacroix-Riz, historienne

LUNDI 7 MARS à 11 heures

Face à la porte historique de Billancourt

Place Jules Guesde (ancienne Place nationale)

BOULOGNE-BILLANCOURT

Métro Marcel Sembat

DEVANT une nouvelle et intolérable tentative de réhabilitation de Louis Renault, condamné pour collaboration avec l’ennemi de portée nationale.

Huit pages sur le sujet ont déjà paru dans le Monde Magazine du 8/01/2011

Le Journal Télévisé du 20 heures de David Pujadas du 2/03/2011 sur la chaîne publique France 2 est allé dans le même sens.

Initiative face au refus de ces deux médias de donner suite au droit de réponse des trois syndicalistes historiques :

Comme ils ont eu à le faire plusieurs fois durant leur longue carrière chez Renault (plus de 40 ans),  Michel Certano, Aimé Halbeher et Roger Silvain, en tant qu’ouvriers et responsables syndicaux et politiques, soutenus par Annie Lacroix-Riz, historienne spécialiste de la collaboration économique pendant la deuxième guerre mondiale, démontreront preuves à l'appui la légitimité de l'ordonnance de nationalisation du 16 janvier 1945, votée par l'assemblée nationale provisoire et signée par le général de Gaulle, instituant la nationalisation ainsi que la confiscation des biens et participations de Louis Renault, parce que les usines Renault avaient constitué un instrument entre les mains de l'ennemi. Cette décision d'État fut d'ailleurs confirmée à l’issue de différents procès engagés par la famille au cours des années suivantes.

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 13:17

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Alain Boussac.

En arrière-plan, l'hôpital Henri Mondor à Créteil (Val de Marne)

 

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Alain Boussac, Marise Dantin et François Sénac

 

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Usagers, élus et militants étaient au rendez-vous...

 

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De gauche à droite :

Bernard Giusti (SG CGT Saint-Vincent de Paul)

Marise Dantin (SG CGT Cochin)

Rose-May Rousseau-Saxemard (SG USAP CGT)

 

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Marguerite, Bernard, Marise : amitié, solidarité et fraternité...

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Marise Dantin et François Sénac

 

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Marguerite et Marise

 

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