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  • : CGT Saint-Vincent-de-Paul Service Public - Le blog citoyen de l'hôpital
  • : Soutien à la lutte du personnel de l'hôpital pour sauvegarder cet établissement public sacrifié aux intérêts privés. Défense des services publics et des valeurs fondamentales de la République et de l'humanisme.
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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 12:50

CGT bonne année 2011Manifestation

pour l’Augmentation générale des salaires

Mardi 31 mai 2011 à 11 h 30

Bercy – Bastille

 

Les fédérations de fonctionnaires CGT – CGC – FSU – SOLIDAIRES – UNSA appellent à l’action pour l’augmentation des salaires.

La CGT a déposé de multiples préavis de grève dans la fonction publique pour le 31 mai.

D’autres initiatives ont lieu :

Les fédérations cheminots CGT – UNSA - SUD Rail - CFDT appellent à faire grève et à une manifestation nationale le 16 juin à Paris.

Après les magasins Carrefour, ce sont les salariés de Carrefour Market qui se sont fortement mis en grève le 14 mai. A la Caisse d’Epargne, AXA, Natixis et dans beaucoup d’autres entreprises, les salariés signent des pétitions, manifestent et font grève pour l’augmentation des salaires.

La Commission exécutive de l’Union Départementale CGT de Paris, réunie le 19 mai, appelle l’ensemble des syndicats parisiens du privé et du public à faire du 31 mai, une journée de mobilisation interprofessionnelle pour exiger l’augmentation générale des salaires.

 

 

TOUS ENSEMBLE,

BATTONS-NOUS

ET EXIGEONS

 

• Le SMIC à 1 600 euros brut, soit + 15 %

• L’augmentation en conséquence de l’ensemble des salaires, pensions et allocations chômage

• L’égalité des salaires femmes/hommes

• L’arrêt immédiat des exonérations des cotisations sociales accordées aux patrons. Cette partie des richesses créées doit revenir au fi nancement de la protection sociale : santé, retraite, famille, aide à l’autonomie. Ces milliards sont le salaire socialisé de tous les salariés.

• L’interdiction des temps partiels imposés, des CDD, des non-titulaires, de la précarité…

• Le gel immédiat des loyers, des prix des produits alimentaires et de consommation courante, des prix de l’énergie.

 

MARDI 31 mai 2011 à 11 h 30

Place du Bataillon du Pacifique

(métro Bercy)

pour manifester vers Bastille

 

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 11:41

 

Préparation des chimiothérapies …

l’AP-HP doit garantir la sécurité des patients et des professionnels….

à l’Had mais aussi dans l’ensemble des services de l’AP-HP.

 

Le syndicat CGT de l’HAD auprès des agents mène une campagne de mobilisation qui prend de l’ampleur. Pour rappel, un avis de danger grave et imminent a été déposé par les mandatés CGT de l’HAD suite à une gêne pour un professionnel survenue lors d’une préparation au domicile d’un patient.

 

Dés lors, le nombre de professionnels qui exercent leur droit de retrait ne fait que croître. Malgré les intimidations, les pressions de l’administration depuis le début de l’action, l’extension de cette mobilisation est significative : Au 04/04/2011 seulement 24 agents sur 4 sites exerçaient leur droit de retrait et au 03/05/2011 ils sont 60 agents à l’exercer sur 9 sites

 

Avec l’appui de la CGT, les agents déterminés refusent de se mettre en danger au travail. Ils placent leur employeur AP-HP dans l’obligation d’accélérer la mise en œuvre de la centralisation de la préparation des Chimiothérapies seul moyen de garantir leur sécurité.

 

Au-delà des infirmiers de l’HAD, dans un certain nombre de services de l’AP-HP, les professionnels prennent des risques du fait de la lenteur de la mise en œuvre de la centralisation des chimiothérapies seul garant de la protection des agents.

 

LES ELUS CGT au Comité d’Hygiène, Sécurité et Conditions de Travail Central (CHSCTC) ont exigé à travers le dépôt d’un Danger Grave et Imminent (DGI), un CHSCT extraordinaire sur cette question le mercredi 4 mai 2011 voilà le contenu de cette séance :

La CGT a réaffirmé son exigence : l’application de la réglementation sur la préparation des chimiothérapies destinées à être administré à domicile. A savoir, conformément aux dispositions de l’arrêté du 22 juin 2001 et aux bonnes pratiques prévues à l’article L.5121-5 « les médicaments anticancéreux à domicile sont reconstitués et/ou préparés dans la pharmacie à usage intérieur dans l’établissement » (paru au Journal Officiel le 23 décembre 2004).

 

La CGT  a informé la Direction Générale que près d’un tiers des infirmières en soins de l’HAD avaient fait valoir leur droit de retrait. On allait être confronté à un blocage si l’APHP ne se conformait pas à la réglementation.

La CGT a fait le constat que les chimiothérapies dédiées à l’HAD APHP étaient sous traitées à des libéraux et qu’une partie est récupérée par Santé Service qui les reconstitue dans leur Pharmacie.

La CGT a rappelé les risques encourus par les personnels, le patient et son entourage lors des préparations des chimiothérapies à domicile :

-Quasi absence de traçabilité du médicament lorsque les chimiothérapies sont reconstituées et préparées à domicile.

-Retranscription des ordonnances pratiquement systématique lors d’un calcul de dose ou de débit par exemple.

-Risque d’erreur dans la manipulation du matériel. La dernière en date connue s’est passé il y a un mois à Tenon (le problème est récurant dans l’histoire des chimiothérapies à l’HAD)

 

D’après notre Directeur, des moyens supplémentaires pour accélérer le calendrier de la mise en œuvre de la centralisation des chimiothérapies ne ferait peut être gagner que quelques mois…

Pour lui la solution pour pallier au 95% de préparation de chimiothérapie non centralisée, c’est le système PHA-SEAL qui nous est présenté comme un système clos.Certain la considère même comme une protection collective puisqu’il protègerait le préparateur et l’environnement du patient…

 

La CGT a rappelé que le ce système a été détourné de sa fonction première, c'est-à-dire qu’il était initialement prévu pour être utilisé dans un système clos pour éviter la contamination des préparations de chimiothérapie.

La Direction Générale indique qu’il n’ait pas prévu d’enveloppe pour créer des emplois pour la centralisation des chimiothérapies. Les hôpitaux qui le souhaitent le feront au détriment d’autres postes budgétés.(Le PHA-SEAL a été acheté hors marché de l’APHP en quelques jours !)

 

Le Service Juridique de l’APHP considère que la lettre de l’inspecteur du travail à des manquements en terme juridique et une réponse va lui être apportée.

Nous avons pris connaissance d’un arrêté du 6 avril 2011 stipulant que la retranscription d’ordonnance est interdite.

Nous en avons conclu que la centralisation du Cymévan allait être arrêtée en HAD (ce qui nous a été confirmé) et que Santé Service ne pourrait plus centraliser ses chimiothérapies puisqu’il les prépare sur le principe de retranscription (réponse évasive)

A aucun moment ils ont remis en cause le droit de retrait des agents.

Le Danger Grave et Imminent est maintenu.                                                                        A suivre…

 

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 11:39

Le syndicat CGT de l’hôpital L.Mourier, partie prenante du comité de défense de l’hôpital appelle à participer à cette manifestation

 

Communiqué de Presse

Comité de défense de l’hôpital de Colombes :Pour que Louis Mourier reste un hôpital de plein exercice avec tous ses services.

Adresse mail : comitemourier@gmail.com

 

S’appuyant sur plus de 3000 signatures, le Comité de Défense de l’Hôpital de Colombes a décidé d’appeler la population de Colombes et des villes avoisinantes à manifester le samedi 7 mai 2011 sur la base des revendications suivantes :

 

Pour :

Le maintien de Louis Mourier et Max Fourestier avec tous leurs services (chirurgie, maternité, urgences…)

· La réouverture du service de médecine nucléaire à Louis Mourier avec tous ses postes, renoncer à la privatisation du service de sécurité incendie. Maintenir la vigilance pour le centre IVG

· Le maintien des services de chirurgie, des services d’urgences et de tous les labos 24h sur 24 et 7 jours sur 7 par département, la nuit de 18h30 à 8h00, le week-end et les jours fériés.

· Le maintien des 38 hôpitaux de plein exercice de l’AP-HP, contre la mise en place des 11 groupes hospitaliers, contre les regroupements de services en pôles.

· La défense de l’hôpital public, contre la privatisation.

 

Le parcours de la manifestation sera le suivant :

Départ 14h devant l’hôpital Max Fourestier (403 Ave de la République Nanterre.) Passage 15h devant l’hôpital Louis Mourier (178 rue des Renouillers Colombes.)Arrivée 16h devant la Mairie de Colombes.

Colombes, le 29 avril 2011

 

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 11:37

APPEL A LA MOBILISATION LE LUNDI 23 MAI 2011

 

NOUS AVONS TOUS UNE RAISON, UNE REVENDICATION POUR NOUS MOBILISER

« NOUS AIMONS NOS METIERS, NOUS AIMONS L’AP-HP, NOUS DEFENDONS NOTRE SERVICE PUBLIC … MONTRONS LE A Mme FAUGERE !!! »

 

LE 23 MAI : GREVE ET RASSEMBLEMENT A L’AVENUE VICTORIA

 

La CGT de l’AP-HP APPELLE LES PERSONNELS A SE MOBILISER ET A EXPRIMER LEUR RAS LE BOL PAR UN RASSEMBLEMENT DEVANT L’AVENUE VICTORIA LE LUNDI 23 MAI 2011 DANS LA MATINEE

 

Ce jour-là, le Comité Technique d’Etablissement Central sera présidé par la Directrice Générale Mme Faugère et l’ordre du jour traitera :

-                      des budgets de l’AP-HP  (en réalité une nouvelle vague de restrictions budgétaires et de suppressions d’emploi etc…)

-                      des projets de restructurations à l’AP-HP (en réalité une nouvelle programmation de fermetures de services, d’hôpitaux, projets de regroupement etc…)

 

On constate la multiplication des mouvements et la mobilisation de personnels, voire des hôpitaux en perpétuelle ébullition à l’AP-HP… Il est temps de venir, ensemble, clamer notre ras le bol, notre colère mais aussi d’exprimer nos inquiétudes sur notre avenir et de se mobiliser pour nos revendications.

 

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 11:31

 

06.05.11 - 17:48 - HOSPIMEDIA |

L'hôpital public, sous le joug des nouveaux outils de gouvernance, traverserait une crise des plus aiguës, constate le sociologue Frédéric Pierru. La loi HPST n'a pas encore introduit les changements médico-économiques escomptés. Au contraire, elle pourrait "nourrir" le malaise hospitalier.

L'hôpital public est-il donc définitivement allergique aux réformes ? "Certainement pas", indique Frédéric Pierru (1), chargé de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), en sociologie, à Paris-Dauphine. À toutes fins utiles, il précise que son regard est un peu biaisé par son terrain d'étude, à savoir l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP), "sans doute plus politisé" que d'autres CHU en France. En l'occurrence, il fait observer que l'hôpital public n'a pas cessé d'être soumis à des réformes, ces vingt dernières années, jamais évaluées au demeurant. Et que c'est peut-être même là que le bât blesse ! "Ce qui m'avait interpellé dans la préparation de la loi HPST, c'était justement tout ce discours revenant à dire qu'il n'y avait jamais eu de réforme à l'hôpital et que globalement les personnels soignants étaient résistants au changement."

Manque de reconnaissance

La réalité est autre : l'hôpital s'est beaucoup réformé, les personnels de toutes catégories se sont investis dans des nouveaux outils de gestion, dans l'appropriation de démarches médico-gestionnaires, dans des rapprochements de services, mais aussi des réformes organisationnelles, et principalement dans la mise en place de la Tarification à l'activité (T2A). Or, estime ce sociologue, le discours accompagnant la loi HPST aurait purement et simplement "nié tous ces efforts". À cela se serait ajouté ce que Frédéric Pierru appelle "une verticalisation du système". Avant la loi HPST, explique-t-il, "nous étions dans des processus d'acclimatation des soignants à la logique gestionnaire. Et soudain, toutes les innovations introduites avant la loi ont été prises dans des logiques hiérarchiques, autoritaires, avec des chefs de pôles, des ARS toutes puissantes…" Les professionnels de santé qui s'étaient investis dans ces précédentes réformes se seraient ainsi retrouvés au service d'une logique les dépassant, susceptible de les fragiliser vis-à-vis de ceux, plus frileux, qui avaient opté pour l'attentisme.

Mauvais timing

Le sociologue s'est notamment intéressé au corps formé par les anesthésistes-réanimateurs, car "c'est une spécialité médicale qui, dans les années 90, a joué le jeu des réformes". En adoptant une grille de lecture sociologique pour décrire cette profession, "on peut dire que c'est une spécialité qui s'est investie pour s'émanciper de la tutelle des chirurgiens, précise le sociologue. Or, il est intéressant de voir que le syndicat des anesthésistes SNPHAR (2), qui était pro-réformiste, se retrouve aujourd'hui contre la loi HPST, mais ne s'identifie pas non plus au Mouvement de défense de l'hôpital public (MDHP) mené par des mandarins de l'AP-HP."

Autre déception : la loi faisait miroiter aux chefs de pôle l'opportunité de percevoir un jour les bénéfices de leur gestion. Or, ce que beaucoup ont à gérer, actuellement, c'est la seule pénurie ! "Il est impossible d'intéresser des gens à une réforme, en niant les efforts passés, en ne leur donnant pas de grain à moudre et en les soumettant toujours à des régimes de plus en plus secs", analyse Frédéric Pierru qui croit savoir que "ce sont le timing et la financiarisation à court terme de la loi" qui, en définitive, gripperaient ce système.

Quand la FHF prend ses distances

À cela s'ajoutent les effets du vaste chantier de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) lancé au printemps 2009. À cette période, la ministre de la Santé de l'époque avait assuré au micro de France Inter que "l'hôpital n'est pas touché par le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux". Mais les dernières statistiques révélées par le gouvernement en mars montrent que les hôpitaux publics ont – médecins mis à part – perdu 1,29 % de leurs personnels en 2009, soit 9 800 postes. L'un des derniers symptômes de la crise en cours, et non des moindres, observé par Frédéric Pierru, serait la désolidarisation actuelle de la Fédération hospitalière de France (FHF) vis-à-vis de la loi HPST. Perçue au départ comme un compromis acceptable entre les partisans d'une main mise de l'état et ceux d'une privatisation accélérée du système de santé, cette loi leur apparaîtrait sous un autre jour et les inciterait à prendre leur distance : en effet, "le mouvement de fond tend désormais vers la privatisation", décrypte Frédéric Pierru.

 

Caroline Faesch

(1) Auteur de "Hippocrate malade de ses réformes", Éditions du Croquant, coll. "savoir/agir", 2007, 319 p.

(2) Le Syndicat national des praticiens hospitaliers anesthésistes-réanimateurs, devenu aujourd'hui le SNPHAR-E (Élargi).

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 11:26

Monsieur le Président du CHSCT

 

Dans la nuit du 4 au 6 mai, la famille d'une patiente d'Ollier [hôpital Cochin] a agressé verbalement une IDE [Infirmière Diplômée d'Etat] de ce service en proférant des menaces de mort.L'infirmière,dans le service septique en poste isolé, s'est retrouvée confrontée a cette menace .Ayant pu appeler le service de sécurité après l'incident, cette collègue a rédigé une "main courante" et une fiche Osiris.

Un membre de la DRH est venu la rencontrer sur son lieu de travail le lendemain pour lui indiquer les diverse procédures et lui parler de soutien possible. Entre temps, l'encadrement a préféré la faire travailler dans une autre salle.

En revanche, rien n'a été fait pour modérer l'attitude agressive de la famille le 5 mai.Dans la nuit du 5 au 6 mai, de nouveau la famille impliquée dans cette incident s'est montrée très présente en dehors des heures de visite, constituant une menace potentielle pour le personnel dans cette salle et pour la collègue en poste dans le batîment.

Le risque potentiel dans ce secteur isolé la nuit est trop grand pour ne pas être pris en compte.

Nous avons pu évoqué ce problème avec des membres de la DRH et 1 cadre du service.

Compte tenu des circonstances, il nous parait important de limité rigoureusement l'accès de ce service à cet entourage violent, notamment dans les plages horaires en dehors des heures permises de visite.

D'autre part, l'IDE a mal vécu son changement de salle, sachant qu'elle est une référence de la salle septique et tient à réaffirmer son attachement à son travail dans ce secteur.Il serait dommage de déplacer le problème sans rien faire pour éviter les "écarts" de langage d'un entourage de patient malveillant tout en multipliant les IDE exposées à ces menaces.

Nous demandons que le service sécurité passe dans ce secteur systématiquement  au moins à 20h00 et à 21h30 tant que cette personne est hospitalisée.

De même, une information sur la courtoisie à conserver lors d'une hospitalisation devrait être faite auprès de la famille de cette patiente par les responsables du service ou la direction.

Les membres cgt du CHSCT ne peuvent pas tolérer qu'un membres du personnel soignant soit ainsi exposé à des menaces de mort sur son lieu de travail !

 

Pour les membres  CGT du CHSCT Cochin SVP; Francois SENAC

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 13:14

SYNDICAT CGT

HOPITAL SAINT-VINCENT DE PAUL

POSTE  9 8198

http://saintvincentdepaul.over-blog.com/

 

SYNDICAT CGT

HOPITAL COCHIN

POSTE 11167

www.cgtcochin.fr

 

 

LE 1ER MAI 2011

POUR LA SOLIDARITE, LE POUVOIR D’ACHAT, 

LA PROTECTION SOCIALE

 

Le 1er Mai se déroule en France dans un contexte de crise économique. Les inégalités sociales se creusent. Les préoccupations des salariés en matière d’emploi, de salaires et de conditions de travail se sont déjà à l’origine de fortes mobilisations de 2009 et de 2010.

 

Les salariés ne doivent pas payer le coût d’une crise dont ils ne sont pas responsables !!!

 

Cependant le gouvernement fait un gros cadeau a ses amis richissimes, en supprimant l’IMPÔT SUR LES GROSSES FORTUNES

Dans le même temps pour la troisième année consécutive  il gèle le point indiciaire des fonctionnaires !!!!!

 

La CGT EXIGE :

 

 - L’augmentation des salaires, des pensions et du pouvoir d’achat

 - La priorité à l’emploi par des choix économiques et sociaux prenant appui sur une réelle politique industrielle.

 - Des services publics de qualité favorisant la réduction des inégalités notamment dans le secteur de la santé (accès aux soins pour tous).

 - Prioriser des mesures en faveur de l’emploi des jeunes

-          Mettre fin au non remplacement d’un fonctionnaire sur deux

 

VENEZ NOMBREUX POUR FAIRE ENTENDRE NOTRE COLERE FACE A CE GOUVERNEMENT QUI FAVORISE LES INJUSTICES SOCIALES

 

 

MOBILISONS – NOUS DIMANCHE 1ER MAI A

14 HEURES 30

PLACE DE LA REPUBLIQUE JUSQU'A NATION

 

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11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 12:21

COORDINATION REGIONALE ILCOORDINATION ILE-DE-FRANCE

 

- A tous les syndicats d’Ile-de-France

Le mardi 12 avril, Xavier BERTRAND convoque l’ensemble de la communauté hospitalière

pour discuter de « l’hôpital » et ignore les représentants des salariés.

· La fédération appelle ses organisations à envoyer des messages de protestations

· La coordination Ile-de-France appelle à un rassemblement ce mardi 12 avril, à 11 heures,

place Fontenoy

Une année après la mise en place des ARS, Monsieur Xavier Bertrand a décidé de convoquer, le 12

avril prochain, une assemblée sur « l’avenir de l’hôpital ».

Pour discuter de l’avenir de l’hôpital public, pour faire le bilan des restructurations en cours, le

ministre a convié, les directeurs des ARS, la FHF, les syndicats des cadres hospitaliers, les

syndicats des praticiens hospitaliers, les présidents des CME des centres hospitaliers, les directeurs

des CH, CHU, CHS….en réalité toute la communauté hospitalière, sauf les organisations des

salariés

Volontairement le ministre les a écartées !

Outre le mépris affiché vis-à-vis des salariés qui oeuvrent au quotidien auprès des patients, des

usagers, il est impensable et irresponsable lorsque l’on affirme, ici et là, le besoin de « démocratie

sanitaire », de ne pas prendre en compte l’avis de ceux sans qui les hôpitaux ne sauraient accueillir

et soigner.

Assez de mépris !

C’est pourquoi, la Fédération CGT de la Santé et de l’Action Sociale appelle ses organisations à

relayer auprès des personnels l’attitude inqualifiable de leur ministre de tutelle. Elle les invite à

envoyer des messages de protestations.

Dans cet esprit, la coordination régionale Santé/Action sociale IDF appelle à un rassemblement ce

mardi 12 avril, à 11 heures, en lieu et place de l’initiative gouvernementale place Fontenoy .

A l’occasion de ce rassemblement, une conférence de presse se tiendra pour faire un premier bilan

d’une année de restructuration « dramatique » pour nos établissements, des luttes en cours, et des

prolongements de l’action pour préserver et promouvoir l’hôpital public.

 

C a s e 5 3 8 _ 2 6 3 r u e d e P a r i s _ 9 3 5 1 5 M O N T R E U I L C e d e x

_ T é l . : 0 1 4 8 1 8 2 0 9 4 _ F a x : 0 1 4 8 1 8 2 9 8 1

_ Mé t r o : P o r t e d e Mo n t r e u i l o u R o b e s p i e r r e

Si te Internet : www.cgt.fr / santeas _ E-mai l : revendic@sante. cgt . f r

 

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8 avril 2011 5 08 /04 /avril /2011 16:12
RASSEMBLEMENT LE 12 AVRIL A 11 HEURES PLACE DES INVALIDES
vendredi 8 avril 2011 par Marise SG

Monsieur le Ministre de la Santé Xavier Bertrand recoit en grande pompe les Directeurs de l’ARS Ile de France, les Présidents des CME, les associations et les syndicats de Medecins, en tout 800 personnes ce Mardi 12 Avril 2011.

NOUS APELLONS TOUT LE PERSONNEL A VENIR EXPOSER A CE MINISTRE TOUTES LES DIFFICULTES QUE NOUS RENCONTRONS AU QUOTIDIEN DANS HOPITAUX.
PLACE DES INVALIDES LE 12 AVRIL A 11 HEURES
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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 11:42

Par l'UFAL

Mardi 29 mars 2011

 

Après l’IGAERN, c’est au tour du corps d’inspection de monter au créneau pour dénoncer la « paupérisation de l’école » publique. Dans une lettre écrite le 7 mars dernier, le SNPI-FSU (Syndicat national des personnels de l’inspection de la FSU) se fait l’écho du malaise qu’éprouvent un certain nombre d’inspecteurs.

Témoins privilégiés du travail des professeurs, les inspecteurs s’inquiètent des difficultés croissantes que rencontrent ces derniers dans l’exercice de leur métier. La situation des professeurs stagiaires est particulièrement alarmante : la formation initiale est « bien insuffisante pour ne pas dire inexistante au regard des besoins des élèves ». Une fois encore, les inspecteurs qui avaient pourtant mis en garde le ministère contre « l’arrivée massive de jeunes enseignants stagiaires sans aucune formation pratique » n’ont pas été écoutés

Roland Damis, l’auteur de cette lettre, rend compte du sentiment d’impuissance et de malaise qu’éprouvent les inspecteurs face aux « suppressions massives de postes qui fragilisent les enseignements ».

Autre sujet d’inquiétude : la marginalisation croissante des inspecteurs. La mise en place du « pacte de carrière » est un moyen, pour le ministère, de transférer en douce aux chefs d’établissement une mission qui était, jusqu’à maintenant, confiée aux inspecteurs : procéder à l’évaluation pédagogique des professeurs. La répartition des prérogatives entre autorité pédagogique (corps d’inspection) et autorité administrative (chef d’établissement) est remise en question au profit des chefs d’établissement qui sont désormais promus directeurs des ressources humaines.

L’auteur de la lettre craint que cette marginalisation ne soit le prélude à la disparition pure et simple de l’inspection, à tout le moins dans ses missions de conseil, d’assistance et d’évaluation des professeurs. Après la réforme de la formation de l’année de stage qui les prive de toute formation initiale, la seule aide qui existait en aval, les inspecteurs, risque bien de disparaître elle aussi. La disparition de l’inspection n’est donc pas seulement préjudiciable aux inspecteurs eux-mêmes : elle l’est également aux professeurs dont les qualités pédagogiques ne peuvent être évaluées que par un corps indépendant de spécialistes disciplinaires. Elle est préjudiciable, enfin, aux élèves qui doivent être instruits par des professeurs formés et jugés en fonction de la maîtrise de leur discipline et de leurs qualités pédagogiques. Or, les chefs d’établissement n’ont aucune compétence en la matière. C’est la raison pour laquelle l’UFAL a toujours défendu le principe de la double évaluation, gage de l’indépendance et de la qualité des professeurs.

Au final, Roland Damis déplore « une sorte de coupure de la chaîne pédagogique ». Les inspecteurs qui « devaient être des relais de terrain » ne sont plus que des « VRP de choix politiques qui ne sont pas discutés et, pour la plupart, désapprouvés par une majorité de Français ». Quant aux professeurs, ils sont abandonnés à leur sort, dans une période où « le constat est fait d’une forme de souffrance au travail ».

« Ce qui compte aujourd’hui, c’est que les chiffres soient bons… c’est important pour la carrière et la prime d’un recteur ! ». Certains chiffres parlent, hélas, d’eux-mêmes : 47 inspecteurs et proviseurs ont déjà rendu récemment à Chatel leurs palmes académiques. 22 % des néo titulaires de l’académie de Créteil, selon l’inspection, ont démissionné cette année de l’Éducation nationale.

L’UFAL :

·                      Se joint à la protestation du syndicat des inspecteurs : trop, c’est trop !

·                      Exige un moratoire sur la réforme des rôles et missions de l’inspection.

·                      Exige un audit immédiat sur la situation actuelle dans l’enseignement après la cohorte des contre-réformes mises en œuvre par le ministère : suppression des postes, destruction de la formation initiale des professeurs et, désormais, disparition programmée de l’inspection.

·                      Exige la démission de Luc Chatel dans l’intérêt de l’École de la République.

 

UFAL http://www.ufal.info/ecole/luc-chatel-le-fossoyeur-de-leducation-nationale/4222

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